Du 5 novembre au 13 décembre 2011
La sixième édition de l’Exposition internationale d’estampe numérique miniature :
Le corps transformé
Premier prix : Ajk Piercc + Tee Kho !, (Pologne et Ukraine), EYEXCHANGE-V-8.5
Deuxième prix : Manon Pelletier,(Montréal), 2
Troisième prix : Raymond Aubin, (Gatineau), Prématuré
Mention d'honneur : Doris Lamontagne (Ottawa), Au-delà des imperfections
Mention d'honneur : Louise Mercure (Montréal), Femme fleuve
Sous le commissariat de Katy Le Van, l’exposition a fait voir des œuvres en provenance de l’Algérie, de la Bulgarie, du Canada, de la France, de la Hongrie, de la Pologne, de la République tchèque, du Royaume-Uni, de la Serbie, de la Slovénie, de la Suisse et de l’Ukraine.
Au-delà de quarante artistes se sont inspirés du thème Le corps transformé, montrant à quel point les représentations artistiques du corps humain, libéré des contraintes imposées par la société, deviennent des images uniques en leur genre. À noter que trois prix Desjardins ont été attribués par un jury aux artistes dont le travail se démarque par sa qualité et son originalité.
Dimanche le 2 octobre 2011
Rachel Echenberg
Rachel Echenberg
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De 12 h 45 à 13 h 30, Rachel Echenberg a effectué une performance où elle a tenté de rendre visible les points morts de la perception. L’artiste s’est inspirée du thème de l’exposition L’inconscient de l’œil par le sténopé numérique pour présenter un collage d’images vivantes, à la frontière de l’observable et de l’expérientiel. La performance s’inscrivait dans le cadre de Viva! Art Action et a eu lieu grâce à une collaboration avec l’AGAVF..
Du 17 septembre au 25 octobre 2011
La première édition de sa Triennale du sténopé numérique
L’inconscient de l’œil par le sténopé numérique
Paul Walty
Doris Lamontagne
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Le commissaire, André Paquin, a travaillé de près avec 15 artistes pour mettre sur pied L’inconscient de l’œil par le sténopé numérique, une exposition qui rassembla des photographies découlant de l’imprévu et « formées par la lumière et le temps qui passe inexorablement ».
Les artistes exposant :
Jadikan LP, Doris Lamontagne, Driss Aroussi, Janie J. Fort
Marion Bordier, Csaba Pál, Miki Gingras et Patrick Dionne
Paul Walty, Paula Franzini, Regina Czapiewska
Suzanne Nerbonne, Tracy Peters, Wenda Salomons, William Eakin
Du 9 juillet au 16 août 2011
Paula Franzini et Claire Lemay
Paula Franzini
Claire Lemay
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D’une part, Paula Franzini qui, en plus de sa formation artistique, détient un doctorat en physique, présente deux corpus d’œuvres intimement liés à son cheminement. Ses images numériques et ses dessins, qui abordent le sujet de la jungle urbaine et l’expression de pulsions intérieures, sont autant de propositions qui font voir que l’art et la science ont un « dénominateur commun ».
Quant à Claire Lemay, qui a entre autres participé à la fondation de l’Atelier Zocalo, elle s’est servi de l’imagerie populaire pour démontrer le parcours historique de la xylographie. Dans ses impressions numériques, des gravures anciennes et des graffitis se côtoient pour évoquer à la fois le passé et le présent et faire découvrir au témoin un « temps incertain », sorte d’« improbable rendez-vous ».
Du 7 mai au 14 juin 2011
François Mathieu et Joan Rzadkiewicz
François Mathieu
Joan Rzadkiewicz
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Le corpus que présente François Mathieu comprend quatre sculptures, « surabondantes de matière », qui tentent d’incarner la forme pure, la sphère. Chacune se trouve à la frontière de la représentation, de la littéralité et du fonctionnalisme, leur corps se montrant parfois un peu pudique, l’objet se faisant un peu moins bavard.
Joan Rzadkiewicz utilise des carapaces de téléviseurs et de radios pour composer des modèles imaginaires qui explorent la mécanique à l’œuvre dans le développement de la culture audiovisuelle. Elle effectue une inversion où les espaces qui se trouvent généralement autour d’un téléviseur ou d’une radio sont reconstruits à l’intérieur de ceux-ci.
Du 12 mars au 19 avril 2011
Suzanne Nerbonne
Suzanne Nerbonne
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Du 12 mars au 20 avril, l’art vidéographique est à l’honneur au Centre d’artistes Voix Visuelle. En effet, l’artiste Suzanne Nerbonne y dévoile une série de vidéos qui documentent différentes temporalités.
L’installation vidéo André est composée de cinq écrans juxtaposés qui présentent un seul personnage. Ce dernier est filmé de la tête aux pieds, mais est montré en cinq parties distinctes. Le spectateur fait donc une lecture désynchronisée du protagoniste, qui évolue dans cet espace de temps qu’est la durée. Quant à Casier, l’installation comprend 12 écrans qui montrent 12 adolescents filmés pendant 3 minutes devant un casier. L’œuvre projetée en boucle se découvre telle une riche mosaïque et une chorégraphie originale, mais le spectateur ressent bientôt le malaise des sujets confrontés à la caméra.
Du 15 janvier au 22 février 2011
Nathalie Lavoie et Anne-Marie Sirois
Nathalie Lavoie
Anne-Marie Sirois
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Pour commencer l’année en beauté, le Centre d’artistes Voix Visuelle présente, du 15 janvier au 22 février, le travail de deux artistes inspirées par un objet pour le moins singulier : le fer à repasser. Nathalie Lavoie fera découvrir des dessins montrant des variations créées à partir du motif formé par les orifices de la semelle du fer à repasser ainsi que la vidéo d’une performance dans laquelle elle repasse un drap au sol. Elle invite donc le visiteur à réfléchir sur les composantes formelles de l’objet à l’étude et sur le geste répétitif qui y est lié.
Pour sa part, Anne-Marie Sirois exposera une série de sculptures tout aussi amusantes les unes que les autres. Ses sculptures, fabriquées à partir de vieux fers à repasser et d’autres objets hétéroclites trouvés dans les marchés aux puces, sont le fruit d’un processus de création ludique et spontanée.